« La suite logique, pour un élève du lycée Banville à Moulins (Allier) motivé par ses professeurs et souhaitant réussir est de venir en classes préparatoires au Lycée du Parc.
Je suis arrivé en 1981 en HX4. J’étais boursier et la bourse de l’Éducation Nationale couvrait assez bien les frais d’internat au lycée, de SNCF et de vie courante.
Ma femme est une ancienne du Parc, mon fils est en classe préparatoire ici. Beaucoup d’amis et de proches sont passés par ce lycée d’excellence. Je suis fortement attaché à mon lycée.
J’adhère aux objectifs de la Fondation, et souhaite permettre son développement en trouvant de nouveaux donateurs via mon réseau et les personnes rencontrées lors de manifestations professionnelles. La dernière trouvée était au marketing chez Twitter.
Il est important de donner à la Fondation pour aider les élèves boursiers (aide aux transports, acquisition d’ordinateur, aide à l’hébergement…), pour favoriser l’accueil d’étudiants internationaux, pour que le lycée puisse investir dans de nouveaux équipements.
Lors de la dernière réunion de la Fondation le mardi 13 décembre, en présence de Christophe Barbier durant le cocktail de clôture, une mère de famille a eu une phrase que je trouve fort juste : il faudrait que l’appartenance à la Fondation rentre dans la logique des élèves dès les années lycée. »
